Par Badylon Kawanda Bakiman
Dès qu’on arrive pour la première fois ou non devant la salle polyvalente de la commune de Kazamba, ville de Kikwit dans le sud-ouest de la République démocratique du Congo (RDC), l’on est frappé par un symbole qui demande poliment de s’arrêter et de lire sur une pancarte qui véhicule un message relatif au développement. Il s’agit d’une pancarte du projet PARC (Programme d’appui à la participation des OSC dans la gestion du bien commun).
Sous un fond blanc, les écritures vertes et noires sont lisibles. Ce canal de communication interpelle non seulement la population dans sa diversité, mais aussi les Organisations de la société civile (OSC) qu’elles ont l’obligation de participer activement dans la gestion de leur entité qui doit assurer leur essor pour une vie meilleure qui, du reste est un droit humain.
La pancarte est placée par LIDEPROV-LDH (Ligue pour la défense, la promotion et vulgarisation des lois et droits humains) à un endroit jugé stratégique afin d’attirer toutes les curiosités. L’on peut lire ce qui suit : «République démocratique du Congo, Programme d’appui à la participation citoyenne des OSC dans la gestion du bien commun (PARC) avec le financement du 11ème fonds européen de développement)».
Cette communication présente également les noms et logos des tous les partenaires impliqués dans le projet. Il s’agit notamment de : 1) la Ligue pour la défense, la promotion et la vulgarisation des lois et droits humains (LIDEPROV-LDH) ; 2) l’Inades-Formation Congo ; 3) La voix de sans voix (VSV) ; 4) La Nouvelle société civile du Congo (NSCC) ; 5) ADESO/RDC ; 6) CRONGD Kasai oriental ; 7) COFED.
Avec cette pancarte qui communique, le message demeure permane
